jeudi 16 septembre 2010

coup de blues

J'ai pas le moral aujourd'hui, il y a quelques jours cela faisait 2 ans que Nico est décédé, mon chat a été malade et m'a complètement ruiné en soins vétérinaires, d'ailleurs ce n'est pas fini parce qu'il pisse chaque nuit sur le canapé ou mon lit, je crois que je vais essayer de le donner, je n'en peux plus. Je ne dors plus, j'ai de moins en moins d'appétit, je suis stressée par un ensemble de choses qui s'accumulent et le manque de sommeil me pèse.
Une bonne amie à moi est dans une mauvaise passe et a recommencé à fumer,  et le fait qu'elle n'aille pas bien me touche beaucoup, c'est comme si une partie de mon monde s'effondrait!C'est parce qu'elle est toujours de bons conseils et que le fait qu'elle aille bien m'aide à aller mieux! vraiment étrange comme sensation. J'ai du mal à trouver un boulot, alors je fais des cours par correspondance, je ne fais pas rien pour mon avenir professionnel non plus, mais j'aurais aimé trouvé un boulot jusqu'à l'exam quoi! putain, chier!
et en plus, pour couronner le tout, mon fils à pleuré ce matin quand je l'ai emmené à l'école, ça me déchire le coeur de le voir comme ça.
Heureusement, à la sortie de l'école, il m'a sauté dans les bras, tout sourire...

lundi 6 septembre 2010

Embrouille, embrouille

J'ai un problème avec mes voisins d'en dessous, ils sont très bruyants, mettent la musique à fond tous les jours, toute la journée. En gros, les boum-boum résonnent tout le temps à la maison, ce qui me met sur les nerfs.Je ne peux ni bosser à la maison, ni souffler le soir, tranquille. Me rendant compte que je ne pourrais supporter cela très longtemps, j'ai décidé d'aller les voir. Sans réponse, je leur écris un petit mot poli, demandant de baisser le volume car ça résonne dans les appartements voisins. Depuis, le volume a été baissé mais les réflexions fusent de toutes parts. Genre: " pour qui ils se prennent les voisins à critiquer les autres, ils feraient mieux de s'occuper de leur culs". Ambiance!!! Ça promet de nouvelles aventures à raconter...

mercredi 1 septembre 2010

réunion au sommet

Les chiottes sont chez moi un lieu de réunion, je ne sais pas pourquoi mais il suffit que je franchisse la porte de la salle de bain et que je m'installe tranquillement, pour que tout le monde se ramène, j'entends par la mon fils et les deux chats! Pour mon fils, c'est le moment idéal pour discuter et les chats pour faire des câlins!
Bref, vous pouvez vous rendre compte a quel point c'est ambiance hippie a la maison!
(mais bon c'est pas le top quand on est constipée et qu'on a besoin de se concentrer!!!)

lundi 23 août 2010

Aujourd'hui je me suis rendue compte que je ne dégage pas du tout ce que je ressens à l'intérieur!
Un voisin m'a demandé s'il pouvait donner une tranche de pain d'épices à Kélian, et j'ai répondu un: "ouais pourquoi pas", après les avoir regarder froidement sa femme et lui! ( j'ai comprit que je les avais regardé froidement en voyant leurs regards étonnés, en voyant ce qu'ils ressentaient).
Et ce n'était pas voulu,j'étais contente à l'intérieur, le "froidement" s'est dégagé de moi parce qu'ils me regardaient tous les deux et que cela m'a fait peur.   
J'ai peur du regard de l'autre, d'être jugée, critiquée, alors une barrière se créer sur mon corps et mon visage, ce qui indique à l'autre un refus d'ouverture, de partage, de communication, voir même un rejet.
Mais comment réussir à accorder l'intérieur avec l'extérieur?
Déjà, je dois me dire que tout le monde a des doutes, des complexes, et qu'ils ne vont pas forcement me juger, comme ça d'entrée de jeux, ils n'ont pas que ça à faire!!!
Parce que si je laisse ma peur me guider, je rejetterais sans cesse les autres, "inconsciemment".
(Et puis si je me rends compte qu'ils jugent, je m'en fous, je les ignore, ils doivent devenir transparents.)
Il faut que j'arrive à être plus forte a l'intérieur, plus sure de moi,  plus ancrée, pour pouvoir dégager plus d'assurance, d'aisance et donc d'ouverture, et de là, la communication pourra se faire.
Il faut que je me focalise plus sur ce que je dégage, quand je suis en compagnie de quelqu'un, pour pouvoir changer.
Mais attention! Je dois continuer à faire attention aux personnes qui sont devant moi, pour ne pas retomber sur des manipulateurs et me faire bouffer!
Donc penser à ce que je dégage, ce que je ressens et continuer à être vigilante pour faire le tri entre les gens.

mercredi 18 août 2010

J'en ai marre, de cette famille, de mon père, qui est plus attentionné envers les filles de sa femme qu'envers moi!
On ne fait jamais rien ensemble!  Alors qu'il leur propose toujours des trucs. Dès qu'elles lui demandent quelque chose il opère comme un robot, alors que moi qui n'ai jamais rien demandé, dès que je demande quelque chose on m'envoie chier et on me dit que je suis une opportuniste! ze blague!!!
Pendant ces vacances, mon père devait partir quelques jours avec Kélian ( c'est lui qui l'a décidé), mais, comme d'habitude , ça ne s'est pas fait parce qu'ils devaient garder le chien de sa fille à elle, non mais sérieux, c'est du délire!!!
Mais comment leur dire, j'ai déjà essayé et je m'en suis prie plein la gueule, ils me critiquent encore plus et me disent que c'est moi qui ne rentre pas dans le moule!
(Leur moule c'est: si t'as pas un boulot t'es une merde et plus tu souffre au boulot plus c'est super génial, s'en prendre aux autres au lieu de se remettre en question, vivre dans la contrainte, ne pas prendre en compte le ressenti des autres, ni les siens...
Mais je ne peux pas être comme ça, j'ai besoin de changer, d'évoluer, de faire en sorte d'être heureuse et de vivre dans le plaisir!
Comment les deux peuvent s'entendre?!
Aujourd'hui, j'ai supporté un repas d'anniversaire très étrange, ou l'enfant n'a pas le droit de parler, de chanter, de danser, de vivre quoi!
A l'arrivée du gâteau, pas de chanson, mais par contre il a fallut souffler quinze fois les bougies pour la photo!!!
Au moment des cadeaux, l'enfant n'a pas le droit de déchirer le papier cadeau! I l n'a pas non plus le droit de crier de joie, cela va sans dire!
Bref, une famille ou visiblement le plaisir n'existe pas, mais ou la contrainte est omniprésente...
Comment peuvent ils imaginer que l'enfant est une chance de s'épanouir, d'avoir confiance en lui?!
Je comprends mieux ce qu'il m'arrive, ce que je ressens, cette colère, cette envie de liberté, d'échapper à tout contrôle...